Chiyo Miyako

Ouppss.... Désolé du grand retard mais ... qu'est ce que tu fais ici aussi ??! Lol, bon je vais te changer, parce que tu ne peux qu'être validé si tu montre ton histoire ^^ Sinon tout le reste est bon, et Bienvenue ! = )

( 1er partie)

Avez-vous déjà regardé attentivement les gens autour de vous ? Vous êtes vous déjà demandez ce qu’ils pouvaient ressentir ? Ce qu’il y avait derrière ces masques ? Derrière ces sourires ? Parce qu’un sourire peut cacher tellement de choses… Une peine de cœur peut-être ? Une querelle avec un ou une ami(e) ?....Un lourd passé....
Je vais vous raconté une histoire, l’histoire d’une fille. Pas un conte de fée. Quoique...

Alors... Il était une fois...



La famille Imaï était une famille riche, très riche. Avec plus d’argent qu’elle ne pourrait jamais en dépenser. Cette famille européenne vivant au Japon n’avait de japonais que son nom, héritage d’un lointain ancêtre, mais sa réputation, elle, était mondial. Chaque membre étant un chirurgien, un chercheur scientifique, ou bien un géologue de renom. Tout pour eux n’était qu’honneur. Cette célébrité grandissante les avait rendue égoïste, imbu d’eux-mêmes, calculateur et remplis de mépris pour toute personne leur étant "inférieur ".
L’honneur et la réputation se devant de passer avant toute autre chose. C’est ainsi que, additionné à de très nombreuses "coïncidences", c’était mises en place des traditions familial bien étrange. L’une d’entre elles, était que les membres de la famille n’avaient le choix qu’entre trois métiers, les trois qui la rendaient si célèbre. Une autre était que chacun de ses membres devaient être… blond. Non, non, ce n’est pas une plaisanterie. Tous les Imaï devaient être blond. Du blond platine au blond foncé, mais blond, aux yeux bleu ou gris. Tradition bien ridicule, sans aucun doute, mais c’était leur « marque de fabrique » auprès des gens de la Haute société.

C’est dans cette famille que naquit, le 2 janvier 1997, la petite Chiyo. Personne ne s’inquiéta de la voir naitre avec les cheveux et les yeux noirs, car, aussi étrange que cela puisse paraitre encore une fois, tous les enfants de la famille naissaient ainsi, pour prendre au fur et à mesure du temps la blondeur traditionnel et n’être à deux ans que des versions miniatures de leurs parents.
Lors de la naissance de Chiyo, ses parents avaient déjà eu 3 autres enfants. 2 filles : Hana, 6 ans, et Hisae, 4 ans. Et un garçon, l’ainé, Masao âgé de 12 ans, qui fut tout de suite pris d’affection pour sa nouvelle petite sœur, créant par la même occasion la jalousie des deux autres à qui il n’avait jamais fait preuve de la moindre attention. Chiyo n’avait que quelques jours et déjà sa vie était un enfer face à ses sœurs qui faisaient tout pour la faire souffrir discrètement.

Les semaines, les mois, puis les années passèrent ainsi. A l’aube de ses 3 ans, Chiyo avait toujours les cheveux aussi noirs qu’un corbeau. Ses yeux, eux, avaient prit une couleur noir virant sur le violet avec un incroyable éclat doré au milieu. Alors que sa sœur Hiroe, né 11 mois après elle était déjà une magnifique petite poupée blonde aux yeux bleu.
A cause de se physique indigne d’eux, les Imaï avaient fini par s’éloigner de Chiyo. Même son père Okazaki Imaï commençait à avoir des doutes sur sa paternité sur cette enfant, doutes qui étaient renforcé par le silence étrange de son épouse sur le sujet.

Chiyo souffrait de ces éloignements incompréhensibles pour elle. Pourquoi avait-elle était confié à temps complet à la gouvernante alors que ses sœurs passaient la moitié de leur temps avec leur mère ? Pourquoi n’avait-elle pas le droit de sortir alors que ses sœurs étaient toujours dehors avec leur mère ? Pourquoi ses parents ne la serraient jamais dans leurs bras alors qu’ils le faisaient pour ses sœurs ? Mais surtout pourquoi ses sœurs avait tout et elle rien ? Les seules personnes qui faisaient attention à elle, était son frère Masao, qui était obligé de venir la voir en cachette après l’interdiction de ses parents, et la gouvernante qui pour la consoler de ses heures de solitude lui offrit de nombreux cd de musique, toujours en cachette.

Puis un jour, tout s’expliqua. Tout dégénéra. Chiyo avait 4 ans. C’était devenu flagrant ! Son visage. Son physique. Elle avait tout d’une petite fille eurasienne. Echange de bébé à la maternité ? Impossible ! Elle était née à la maison. Adultère. Scandale. Dispute… Divorce. Et pas un divorce mais deux. La sœur de son père s’était mariée à un japonais. Il avait été accepté par les Imaï car s’était un très grand chirurgien, qu’il avait les yeux gris et que surtout il était très riche. Enfin, quoi qu’il en soit, la famille fit le rapprochement entre lui et Chiyo. Il eut beau démentir, les autres n’en démordirent pas et la mère de Chiyo, elle, ne disait rien. Se contentant d’en vouloir à sa fille d’être né, comme si elle n’était en aucun cas responsable du malheur qui la touchait. A partir de se moment le père prit ses enfants en garde alterné, 1 semaine sur 2. Tous sauf Chiyo évidement. Pour s’en débarrasser sa mère la confiait durant la journée à la vielle voisine. Une riche veuve qui vivait seule avec ses chats et ses 2 bonnes. Ce que Mary Imaï ne sut jamais, c’est que ce fut la meilleure chose qu’elle aurait put faire pour sa fille.

Mme Tokugawa, qui était une femme douce et généreuse, fit tout ce qu’elle put pour redonner le sourire à cette petite. Sa cuisinière et sa femme de ménage qui s’étaient mise adorer la fillette s’y mirent aussi. C’est ainsi que Chiyo apprit le violon, ce devint une passion, son bonheur. Sa mère ne le sut jamais, sinon elle lui aurait interdit. Mme Tokugawa avait était une grande violoniste et c’est avec plaisir qu’elle lui fit cours.

Les années passèrent. Les larmes de Chiyo coulaient toujours. Pas en publique. Non, cela aurait fait trop plaisir à sa mère et à ses sœurs qui faisaient pour lui faire regretter d’être né. Ca elle le savait. Elle pleurait dans les bras de son frère et de Mme Tokugawa qui après faisaient tout pour la faire rire.

A 6 ans elle était rentrée à l’école, une école privée réservé aux gosses de riches. Elle n’eut aucun ami, mais ça elle s’y attendait. Les autres enfants et ses sœurs et leurs amis se moquaient d’elle, la frappaient, l’enfermaient dans un casier, etc. Quand elle racontait ça à son frère il était dans une fureur monstre, mais il ne pouvait rien faire publiquement, ce serai avouer qu’il était proche de sa sœur, alors il joua au même jeu que ses autres sœurs, les faisant soufrir comme elles faisaient soufrir Chiyo. Mais elle n’était pas la plus à plaindre, elle le savait, elle le voyait. Il y avait cette fille à l’école, du même âge qu’elle, mais différente. Avec des oreilles de chat. Elle avait l’air gentille. Un jour, elle avait vu ses sœurs lui voler un collier et lui faire du chantage. Et elle, elle n’avait rien fait et elle s’en voulait même si elle savait qu’on s’en serait prit à elle après sinon.

Sa mère avait finis par la retirer de l’école, « marre de payer pour une sale gamine qui ne pense qu’à sa putain de musique » c’est ce quelle avait dit. L’école publique était bien mieux pour elle. Puis il y eut ce jour d’automne quand elle avait 8 ans, Mme Tokugawa était morte. Vieillesse. Elle avait légué son violon à Chiyo, un dernier souvenir qui adoucit un peu la peine de la fillette même si elle ne pouvait pas en jouer chez elle.
Elle était seule à présent. Elle ne voyait que rarement son frère qui était prit par ses études de géologue. Mais quelques mois après, le 2 janvier 2006, jour de ses 9 ans, une bonne vint voir Chiyo pour lui dire de se préparer à sortir. La fillette s’était préparée sans y croire. On allait l’emmener quelque par ! Pour son anniversaire ?
Elle s’était rendu dans le hall de la villa, sa mère l’y attendait, les lèvres pincée dans une attitude pleine de mépris et énervé. Pas un mot ne fut prononcé durant le trajet en voiture, puis celle-ci s’arrêta devant un parc.
« Quelle bonne idée ! » avait pensé naïvement Chiyo, « Une balade dans le parc ! En plus il fait beau aujourd’hui et il ne fait pas trop froid ».
Mais à peine était elle descendu de voiture que sa mère l’avait attrapé violement par le poigné et trainé derrière elle en marchant d’un pas pressé.



( suiteuh bientot)

(2nd partie, suiteuh et fin)

Elles marchèrent à cette allure pendant une dizaine de minutes avant d’arriver prés d’un petit étang gelé par le froid et entouré de banc en bois. L’endroit été désert, seul l’un des bancs été occupé par un homme qui se leva en les voyant. La mère de Chiyo avait trainé sa fille jusque devant cet homme puis lui avait lâché le bras et était repartie sans un regard, laissant sa fille et l’homme surpris par ce comportement. Quand Chiyo avait perdu de vu sa mère, elle s’était tourné vers l’inconnu en face d’elle. Un inconnu, pas vraiment. Elle l’avait déjà vu sur des affiches pour des concerts lorsqu’elle rentrait de l’école. Elle le reconnu immédiatement, il était pianiste, mais elle ne comprenait pas pourquoi elle était là. Elle le dévisagea quelques instants, lui étant toujours tourné dans la direction qu’avait prise sa mère, l’air perplexe. Il était d’origine japonaise. Grand, les cheveux noirs, plutôt bel homme avec un visage doux, les yeux… Ses yeux. Noirs virant sur le violet… avec un incroyable éclat…doré. Au moment même ou Chiyo avait comprit l’importance de ce détail, il s’était tourné vers elle, la regardant dans les yeux.

« - Bonjour Chiyo. Je m’appel Dayu Miyako… Avait-il commencé avant d’être interrompu par la fillette.
-Oui je sais ! J’ai vu des affiches pour vos concerts !
-Ah…

Ah. C’est tout ce qu’il sut dire.

- C’est vous mon vrai père ?

Cette question avait prit l’homme en face d’elle complètement au dépourvu. Chiyo l’avait bien remarqué, elle s’était d’ailleurs étonné elle-même du courage soudain qui l’avait pris.

- Je… Oui… Euh… C’est ta mère qui te l’a dit ? Avait fini par demander son… Père.
- Nan. Elle ne m’adresse jamais la parole sauf pour me gronder. Avait répondu la fillette, soudainement triste, avant de reprendre sa bonne humeur et de dire : Mais vous avez les mêmes yeux que moi ! »

A cette remarque Dayu avait ri. Elle était intelligente, ça se voyait.
Ils avaient fini par marcher autour de l’étang discutant calmement. Dayu expliqua à Chiyo son absence. En tant que grand pianiste il faisait des tournés mondial, voyageant d’un pays à l’autre sans s’arrêter. Il y avait un peu moins de 10 ans, il avait rencontré Mary Imaï dans un bar d’un quartier friqué de Tokyo. Ils avaient trop bu tout les deux et avaient fini la nuit chez lui. Ils s’étaient revu d’autre fois. Lui, ignorait qu’elle était marié, mais quand il l’apprit, il mit fin immédiatement à leur relation qu’il avait soudainement trouvé immoral. Il avait continué sa tourné. Avait passé plusieurs mois à Londres, à New York, à L.A, à Paris, etc. Presque 5 ans après, il était retourné au Japon. Il y apprit par hasard le divorce de Okazaki et Mary Imaï dans une des soirées mondaine auquel il était obligé d’assister, mais il n’avait pas prit plus attention que ça à la nouvelle. Puis il était repartie en tourné. A Londres il avait rencontré Jessy Green qui était professeur de musique dans un conservatoire réputé de la ville. Elle était son épouse à présent, et l’accompagnait dans toutes ses tournés. Ils étaient rentrés au Japon, pour se reposer cette fois, avec juste 10 ou 11 concert prévu sur 3 mois. C’est là qu’il avait croisé Mme Imaï, et qu’elle lui avait dit froidement qu’il avait une fille. C’était en octobre et depuis ce jour là, il avait tout fais avec l’aide de sa femme pour voir Chiyo, mais Mary refusait à chaque fois. Jusqu'à aujourd’hui.
A la fin du récit, Chiyo et son père se trouver devant un petit salon de thé.

« - Ca te dit de rencontré ma femme ? Avait-il demandé en la faisant entrer.

Pour toute réponse il reçu un grand sourire.
Les heures qui suivirent avaient paru si douce à Chiyo. Elle aimait déjà tellement son père et sa belle-mère. Ils étaient si gentils. Elle n’était pas habituée à ce que les gens le soit. Elle apprit aussi que Jessy était enceinte de 3 mois et en avait été heureuse.
Mais surtout ce qui avait gravé plus profondément ce jour dans sa mémoire était le fais que son père avait prit la décision de tout faire pour avoir sa garde avec son accord.
Après plusieurs mois de démarche administrative, Mr et Mme Imaï ayant donnaient avec plaisir leur accord, Chiyo devint officiellement Chiyo Miyako. Son père l’avait emmené dans sa nouvelle maison. Elle avait eu l’impression ce jour là d’être la princesse d’un des contes de fée qu’elle avait lu. Vous savez, lorsque le prince sauve la princesse et l’emmène, sauf que la ce n’était pas son prince charmant mais son père.
Sa vie était devenue merveilleuse. Elle parcourait le monde pour les concerts de son père. Elle s’entendait à merveille avec les membres de sa nouvelle famille. Elle appelait Jessy « maman » et Dayu « papa ». Son père lui apprenait le piano. Elle continuait les cours de violon avec sa mère. Elle avait un petit frère adorable, Eizo.

Et maintenant, elle avait 12 ans, elle allait rentrer dans l’école de musique qu’elle avait tellement eut envie d’intégré, elle allait réaliser son rêve. Son rêve était avant tout de devenir une très grande violoniste, la meilleure, mais elle avait aussi un désire depuis longtemps. Elle voulait leur rabattre le clapet, leur montré qu’elle avait beau être une « batarde » né d’un adultère elle serait quand même LA meilleure, elle voulait leur faire regretter de l’avoir traité comme ils l’avaient fait, elle voulait se venger. De qui ? Mais des Imaï bien sûr.

Alors elle était là, son violon à la main et le soutien de sa famille en tête, prête pour sa nouvelle vie...



( FINI !! Pfiou c'était... long! Désolé, j'ai essayé de racourcir, sans y arriver. xD)

Yeaaaaah super histoire ! (Normal j'y suis ! xD)
Eh tu concurences presque mon âge cocote è_é Enfin je reste la plus petite en taille, âge et mental quand même nananèreuuuuuh !! =D
Et pour répnodre à ta provication du premier poste... *Mariko mange Chiyo è_é*
(Au moins je sais que pour te faire chier j'aurais qu'à m'en prendre à ton violon ! Mon bazooka vaincra ! =D)
Et superbe ton avatar, décidément je m'en lasse pas *_* (Normal c'est encore moi qui lui ai donné x])

Bref fiche validée !!! =D (ma première validation *_*)

Merci beaucoup !!!! ^^ Je suis enfin en rose ( ça change de cette couleur rouge/marron bizarre :\) !!

Eh Mariko je confirme ce que j'ai dit l'autre jour : canibale !!
Par contre, pour ton propre bien tu devrais éviter de toucher au très précieux violon. Enfin moi je dis ça... C'est juste que Chiyo quand elle se venge ça fait..... mal..... très très mal......tellement que tu regrétteras d'être né.... * sourir angelique devant couteau de boucher derriére >.> *
( son proverbe préféré : La vengeance est un plat qui se mange froid mais c'est encore meilleur sorti du congélateur )

Tu m'fais pas peur è_é
*Mange le violon de Chiyo è_é* Haha !!
Et pour affimer ma suppériorosité (new word °°) je vérouille le sujet !!
Ahah t'es niquée tu peux plus parler =DD
*sbaf ><*
Bienvenue quand même xP