HISTOIRE - pas de titre -

Chapitre 1 question de survie

« Hey toi! »
Sans crié gare Misha stoppa, si volte face et reprit sa courses effréné dans l’autre direction. Traversant le parc, passant a côté de champs abandonnés, le jeune homme s’engouffra dans la forêt. Courant à l’aveuglette dans l’obscurité intense des arbres, sautant au-dessus des troncs, Misha n’eu pas le courage de se retourner. La peur de tomber et ainsi être rattrapé était bien trop grande.
La respiration courte, le jeune homme obliqua vers la droite, glissa, se rattrapa de justesse et continua sans ralentir.
PEUR
Le cœur affolé du jeune homme failli s’arrêter lorsque, en passant a côté d’un buisson, Misha effraya un corbeau qui s’envola en croassant. Porté par la peur soudaine, le jeune homme détala, slaloma entre les arbres puis déboula sur une vaste clairière.
CRAINTE
La frayeur de Misha ne fis que s’accentuer en entendant des aboiements furieux derrière lui. Un coup d’œil en arrière lui fit comprendre que, face a des chiens, il n’aurais aucune chance de s’en sortir indemne. Tournant vers la gauche, il s’engouffra a nouveau dans la forêt. Courant a travers les arbres, sautant au dessus des souches, Misha était à bout de souffle. Malgré lui, son train fut ralentis par la fatigue imminente. Elle pris peu a peu possession de lui. Jamais il n’y arriverait! Jamais il ne s’en sortirais vivant! Un coup de fusil retentit. La balle alla s’écraser dans un arbre non loin de lui.
PANIQUE
C’en était trop! Sans réfléchir plus longtemps, Misha stoppa devant l’arbre, se retourna et se baissa juste a temps, avant que le chien ne referme sa gueule sur lui. Le canidé alla s’écraser contre l’arbre et tomba ,inerte, sur le sol. Regardant le corps de l’animal, Misha sentie une vive douleur dans son bras droit. L’impression que l’on plante des milliers d’aiguilles à travers la peau et que l’on arrache la chaire. Le jeune homme baissa le regard et remarque la cause de sa douleur : le deuxième chien venait de refermer ses croc sur son bras.
EFFROIE
Le crie remplie d’épouvante et de douleur, donna la force a Misha de se délivrer de l’emprise du chien. Balançant vivement son bras contre l’arbre, le canidé s’y cogna et lâcha prise, tombant à côté de son compagnon. Sans hésiter d’avantage, Misha détala à nouveau.
Il sortie une seconde fois de la forêt et déboula sur une route.
Voyant les phares d’une voiture, il se jeta ,sans plus attendre devant l’automobile. Faisant un arrête d’urgence, elle ne parvint pas à stopper à temps et percuta le jeune homme de plein fouet.
Une violente douleur éclata au niveau des genoux. Faillant sombrer dans l’inconscience et ignorant la douleur, le jeune homme tituba en direction de la portière de la voiture et, ne prenant même pas le temps de regarder le conducteur, et s’affala sur le siège. Le visage crispé de douleur, il cria un simple « démarre! ». Cela suffit pour que le conducteur démarre en trombe. Roulant à toute vitesse, la voiture laissa derrière elle les trois hommes qui en voulaient à Misha.
Lorsqu’ils eurent quitté la forêt, Misha ouvrit les yeux et tourne sa tête vers le conducteur.
Les yeux rivé sur la route, il tenait fermement le volant. Changeant les vitesses de façon régulière, il ne quitta pas une seule fois la route des yeux.
Malgré l’obscurité régnant dans la voiture, Misha pouvait distinguer le visage d’un homme. Ses traits fins et réguliers laissèrent le fugueur imaginé que le conducteur devais être âgé de 30 ans, sinon plus. Le bleu Crystal de ses yeux fut mit en évidence par les réverbèrent éclairant la route sinueuse. Il était vêtu de noir.
Misha l’observa longuement et fut surpris par le l’arrêt brutal de la voiture. Le jeune inconnue éteignit le moteur avant de tourner la tête vers son passager. Le scrutant pendant quelques instants, il fini par demander, d’un ton calme et posé
« qu’est qui se passe ? »
Une grimace de douleur sur le visage, Misha se tourna vers l’inconnue et le dévisagea à nouveau. Serrant les dents, afin de réprimer un cris de douleur, il porta une main sur bras droit. C’est alors, que le conducteur remarqua l’hémorragie constante et la pâleur de son jeune passager.
Se fut, sourcil froncé, qu’il s’adressa sur un ton en légère panique :
« je devrais de conduire chez un médecin … »
Il n’eu pas le temps de finir ses paroles, que Misha le coupa :
« non .. »
Le timbre de sa voix trahis sa douleur. Sans réfléchir d’avantage, le conducteur redémarra. Ce qui en suivie n’était qu’un très vague souvenir. Très vite, Misha sombra dans un sommeil profond.